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Il n'y a pas de meilleur cadeau que la patronne puisse faire à son chien que ça, lui faire manger ses restes et en garder dans son bol.
Pour que toi, sale chien, puisse enfin trouver la paix et la sérénité en t'entendant vraiment dans le caniveau que tu es.
Je suppose que tu es un bon chien maintenant, à genoux sous la table avec les grands yeux suppliants d'attendre les restes.
Oh non, il n'est pas encore prêt.
Je devrais m'habituer à être calomnié, humilié, à obéir à tous mes ordres, à ne pas enfreindre la loi.